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Robert Blondin on 12 janvier 2016 in
Divers,
Société |
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Tout dépend de qui ment, dans quelle circonstance, et à qui. Le plus gros, et tellement répandu : le mensonge électoral. Faire miroiter un avenir que le candidat sait fort bien inaccessible dans un avenir prévisible. Il y a les vendeurs menteurs (pléonasme peut-être). Les mensonges que l’on fait par cupidité. Du même ordre que ceux qu’on distille pour se donner une importance qui nous permet de sortir du rang, de l’anonymat désolant. L’accusé, lui, ment pour sauver sa peau. Et il y a tous ces délicieux mensonges qu’on consomme jusqu’à plus soif : la fiction. À la...